Quels sont mes passages favoris de Roméo et Juliette ?

Ah, Roméo et Juliette ! Qu'est-ce qu'on a pas parlé de cette bonne vielle tragédie, écrite ex professo par William Shakespeare.
Avec ce vieux classique –Je sais, classique renvoi déjà à vieux, mais, je peux bien me permettre des tautologies quelques fois, non ? Alors, voulez-vous bien me la passer ? merci – Avec ce vieux classique, disais-je, nous explorons encore une fois les méandres enjoués et alléchants de l’amour. Ses plaisirs et ses enfers, ses cimes et ses abîmes , bref : ses remous.


Pour la petite histoire, uniquement pour les quelques personnes qui n’ont jamais lu cette pièce, et en guise de rappel pour les nombreux autres, Roméo est fils de la famille montague et Juliette, fille des capulets, les deux vivant à Vérone. D’anciennes rancunes opposent farouchement les deux familles, si bien que la moindre rencontre des leurs ne manquent pas souvent d’engendrer bataille. Mais … comme on peut le lire dans le prologue de la pièce, Des entrailles prédestinées de ces deux ennemies a pris naissance, sous des étoiles contraires, un couple d'amoureux ; Dont la ruine néfaste et lamentable, doit ensevelir dans leur tombe l'animosité de leurs parents.  
Eh bien, dans cet article-ci, je vous confie mes meilleurs passages de cette poésie en prose, après que je l’ai entièrement lue, et vous trouverez in fine, un lien Google drive pour télécharger gratuitement ce bon vieux classique littéraire. 


Quelles sont mes phrases favorites dans cette pièce ? 

Elles sont nombreuses, chaque phrase est empreinte de tellement de poésie qu’elles sont toutes belles, ai-je envie de dire. 
Puisqu’il me faut parler de quelques-unes quand même, les voici :
Oh ! elle apprend aux flambeaux à illuminer ! Sa beauté est suspendue à la face de la nuit comme un riche joyau à l'oreille d'une Éthiopienne ! Beauté trop précieuse pour la possession, trop exquise pour la terre ! Telle la colombe de neige dans une troupe de corneilles, telle apparaît cette jeune dame au milieu de ses compagnes. Cette danse finie, j'épierai la place où elle se tient, et je donnerai à ma main grossière le bonheur de toucher la sienne. Mon coeur a-t-il aimé jusqu'ici ? Non ; jurez-le, mes yeux ! Car jusqu'à ce soir, je n'avais pas vu la vraie beauté—Roméo parlant de Juliette.

Et aussi cet autre passage :

Juliette. – Comment es-tu venu ici, dis-moi ? et dans quel but ? Les murs du jardin sont hauts et difficiles à gravir. Considère qui tu es : ce lieu est ta mort, si quelqu'un de mes parents te trouve ici.

Roméo. – J'ai escaladé ces murs sur les ailes légères de l'amour : car les limites de pierre ne sauraient arrêter l'amour, et ce que l'amour peut faire, l'amour ose le tenter ; voilà pourquoi tes parents ne sont pas un obstacle pour moi.

Juliette. – S'ils te voient, ils te tueront.

Roméo. – Hélas ! il y a plus de péril pour moi dans ton regard que dans vingt de leurs épées : que ton oeil me soit doux, et je suis à l'épreuve de leur inimitié
 Et aussi cette phrase du frère Laurence :
Le souci fait le guet dans les yeux du vieillard, et le sommeil n'entre jamais où loge le souci. Mais là où la jeunesse ingambe repose, le cerveau dégagé, là règne le sommeil d'or.

Parce que les lois et conventions sur la propriété intellectuelle m’y autorisent de temps à autres ; je me suis dit qu’il vous fera sûrement un grand bien que je partage avec vous l’intégralité de la tragédie « Roméo et Juliette » en Pdf  gratuit ; Ne me remerciez pas . Eh bien chers amis, je vous laisse le plaisir de parcourir par vous-mêmes Roméo et Juliette, et  vous me ferez part dans les commentaires et à l’adresse penielktombe949@gmail.com de vos phrases favorites à vous.


A bientôt ;

 
Peniel K.


Commentaires

  1. Réponses
    1. C'est le Programmeur qui va changer le visage du site qui joue avec cet espace de commentaires😏

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